A Streetcar Named Desire / Tennessee Williams (Auteur)

Lauréat du prix Pulitzer, Un Tramway nommé Désir de Tennessee Williams raconte une confrontation catastrophique entre fantasme et réalité, incarnée par les personnages de Blanche DuBois et Stanley Kowalski. Cette édition Penguin Modern Classics comprend une introduction d’Arthur Miller.

« J’ai toujours compté sur la gentillesse des inconnus. »

Blanche DuBois, belle du Sud sur le déclin, est à la dérive dans le monde moderne. Arrivée chez sa sœur Stella dans un quartier animé et animé de La Nouvelle-Orléans, sa folie des grandeurs la met en conflit avec Stanley Kowalski, le mari de Stella, un homme brutal et grossier. Leur violente confrontation finit par effondrer le fragile sentiment d’identité de Blanche, menaçant de détruire sa raison et sa seule chance de bonheur.

Ce drame torride et bouleversant de Tennessee Williams, adapté au cinéma avec Marlon Brando, est l’une des pièces les plus influentes du XXe siècle

Tennessee Williams (1911-1983) est né à Columbus, dans le Mississippi. Lorsque son père, voyageur de commerce, s’installa avec sa famille à Saint-Louis quelques années plus tard, lui et sa sœur trouvèrent difficile de s’adapter à la vie citadine. Il entra à l’université pendant la Grande Dépression et la quitta après quelques années pour occuper un emploi de bureau dans une entreprise de chaussures. Il y resta deux ans, consacrant ses soirées à l’écriture. Il reçut une bourse Rockefeller en 1940 pour sa pièce La Bataille des Anges, et remporta le prix Pulitzer en 1948 et 1955. Parmi ses nombreuses autres pièces, Penguin a publié La Ménagerie de verre (1944), La Rose tatouée (1951), La Chatte sur un toit brûlant (1955), Doux oiseau de jeunesse (1959), La Nuit de l’iguane (1961) et Avertissements pour petites embarcations (1972).

Si vous avez aimé Un tramway nommé désir, vous aimerez peut-être La Ménagerie de verre, également disponible chez Penguin Modern Classics.

« Lyrique, poétique, humain, bouleversant, mémorable et drôle »
Francis Ford Coppola, réalisateur du Parrain

« L’une des plus grandes pièces américaines »
Observer